Lapierre, Soral et les Brigandes : l'amour des seXctes

Publié le par Fantômette

 

Mais pourquoi diable Vincent Lapierre s'est-il soudain pris d'affection pour les Brigandes ? Pourquoi un reportage entièrement à leur gloire ? La ligne d'Egalité et Réconciliation, c'est islamophilie + antisionisme ; les Brigandes, une fois que Labruyère a bien dit face caméra qu'il a peur de la LICRA et des musulmans, c'est objectivement pro-sioniste et islamophobe. 

Alors, pourquoi leur servir la soupe dans un long reportage--où un homme averti décèle néanmoins la tension qui règne chez les membres féminins de la secte, la vulgarité sous le vernis souriant, et l'hypocrisie à tous les étages ?

Soral soupirerait-il après le bon vieux temps ? Le temps où il aimait à participer aux orgies sexuelles de Jean-Paul Appel-Guéry, le gourou violeur chez qui notre bon ami Joël Labruyère a fait ses classes... Il n'est que de lire l'ouvrage de Soral, Misères du désir, pour comprendre ce que pouvait avoir d'attrayant une secte telle que Iso Zen (voir ci-dessous).

Soral comme Labruyère ont donc connu Appel-Guéry et ont profité de l'aubaine que représentaient des centaines d'adeptes féminines pas du tout convaincues que leur corps leur appartenait. Cela explique sans doute la tendresse que Soral porte aux médiocres chanteuses masquées, esclaves d'un Labruyère qui se voyait en Raël et finit en Skippy...

Ci-dessous un extrait de Misères du Désir. Au fait, qu'écrirait Labruyère au sujet de son expérience avec les Brigandes ?

On se fait une fausse idée sur les sectes. Ces éternels refuges pour paumés en quête de transcendance ne sont ils pas la revanche des imaginatifs, des artisans de la religion sur les politicards et les businessmen ? Pas pires sur le plan du mépris et de la manipulation que la jet-set internationale et Wall Street, ces PME du bricolage mystique ont au moins le mérite de soulager la charge de la Sécurité sociale et des hôpitaux psychiatriques. Comment je peux savoir ? Ça aussi j'ai donné. Tricard à l'Elysée-Mat puis aux Bains Douches comme je vous l'ai dit, donc souvent dans la rue, je fus initié par une certaine Wendy qui me recruta d'abord en me donnant sa chatte dans une entrée d'immeuble du quartier des Arts et Métiers. Appâté par la beauté du programme, je la suivis dans sa secte de yoga tantrique (le nirvana par la baise, un truc à base de transmutation d'énergies). Iso-Zen ça s'appelait (pour Orient-Occident), montée par un ancien psychiatre comme souvent les trucs pour manipulateurs pervers. Peuplée de filles et de garçons pile dans mon profil - cherchant plus la transe que l'invite à Deauville (bien qu'au fond il s'agisse toujours du même désir d'être transporté gratis)- du jour au lendemain je me retrouvai membrr actif d'une gentille colonie partouzarde, qui avait transformé en camp de gitans un très bel hôtel Art déco le long du bois de Vincennes. Les vieux baisaient les jeunes ; les jeunes qui vendaient des bijoux fantaisie, dans le style oriental, aux terrasses du quartier Saint-Michel pour remplir les caisses, rabattaient des paumés pour les vieux et les baisaient au passage ; des vieilles à pognon trouvaient à se faire baiser en donnant un bout de leur héritage, puis ramenaient leurs filles. Tout le monde y trouvait son compte, hormis la joaillerie d'art et les monuments historiques. Je me souviens de la discussion très honnête que j'eus avec le numéro deux de la secte, un ancien cadre de chez Jacques Vabre [...]. À la question : pourquoi un mec comme lui, diplômé, intégré, se retrouvait assis en tailleur à faire le gugusse [...] les soirs de grand-messe ? [...] C'était le cul qui l'avait poussé. Il adorait le cul, jeune. [...] J'y serais d'ailleurs resté plus longtemps dans cette secte, si je n'avais pas fauté sans permission avec la favorite en titre, par arrogance, par désir d'élection. Une sublime Portugaise, Amalia de la Tora Ferentes (ça ne s'invente pas !) qui flashait sur les blonds. (Notre gourou, Iso, était un gros velu courtaud d'Afrique du Nord, comme souvent les abuseurs psy.) [...] Nous nous enfuîmes ensemble, traqués par la secte, cachés à droite à gauche par des ex-déçus[...].

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G
J'ai passé 7 ans dans cette hérésie, ça m'a couté bonbon, même maintenant, apple ne lache jamais le morceau même à distance. <br /> C'est le livre de vulgarisation du chercheur en psycho le dr jouve " petit traité de manipulation à l'usage des honnètes gens" qui m'a permis de comprendre quelques ressorts mis en oeuvre. <br /> Mais le gros problème chez ce con, je dis ce con, parceque ça aurait pu être un grand homme, c'est sa récupération de la sexualité post 68. Que l'on veuille former des adeptes à jouir sans éjaculer ( entre 6 mois et 5 ans pour y arriver), très bien pour la dénatalité. Que l'on pousse les filles à jouir sans arrêt, on peut penser " que du bonheur" <br /> Simplement voilà, il y a un problème et de taille. Des expériences sur les singes ont prouvée que si le mâle dominant lâche peu la purée, les dominés beaucoup plus ( sans doute pour fuir vers le futur ) <br /> Ce qui fait que quand les hommes se retrouvait en situation de domination,ex réprimande,mécontentement même non dit, cela les poussait à l'éjaculation, et donc à ne plus être aux normes pour les garçons et donc à quitter le groupe éventuellement en y laissant leur copine, qui les trouvaient d'un coup déclassé. <br /> je pense que les suicides de Patrice et Didier Darkey sont de cette nature. <br /> En psychologue cet enculé aurait du se rendre compte qu'il y avait un problème à force de perdre des membre d'équipage et que ce soit leur faute. <br /> mais se biais se double d'un double autre. la masturbation pour maitriser le tantrisme pour les homme et les vibro pour jouir pour les filles ce sont des addictions pures, qui interdisent le retour au contact de l'autre avec ses imperfections, ce n'est pas le même rythme que l'amour et met l'adepte dans un cas comme dans l'autre de l'autosatisfaction établie <br /> Alors pousser les gens à arreter l'acool, la clope la viande, très bien, mais si c'est pour remplacer par une super addiction à la branlette, ça sert à rien.<br /> cette addiction généralisée à la branlette ne sert que le chef, qui va tirer avantage de la concurence permanente des femmes et envoyer les mec aux travaux forcées des opérations en cours.<br /> Surtout qu'appel en plus réagit assez fort aux sonorité par exemple si il y a un de ( deux) dans votre nom, ça risque de pas le faire.<br /> Bref son histoire, au lieu de faire de la sexualité une ressource " open source" l'a enférmée dans un carcan pire qu'avant, ou elle est devenue l'apanage de la nouvelle classe dominante, qui ne lache rien <br /> assise sur une immensité de dominées par la technologie qui n'ont droit qu'a se branler et éventuellement à disparaitre à la première vacherie du pouvoir.<br /> Je pense pas que ce que c'était ce que voulais son commanditaire celeste.
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L
D'autres détails sur la vie dans le harem de "io" dans le livre d'Isabelle Sebagh "L'adepte"<br /> http://www.liberation.fr/france-archive/1996/10/31/sectes-les-secrets-eventes-de-l-enquete-l-assemblee-nationale-saisit-la-justice-pour-detournement-de_185488
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F
Io= JP Appel Guéry, fondateur de Iso Zen, je précise pour les lecteurs visiblement moins informés que vous !